8 décembre les milices basidj'is attaquent de nouveau les facs de téhéran

Honduras grece Iran solidarité internationale avec les peuples la jeunesse qui résistent contre le fascisme et les oligarchies qui les oppriment

 

Deuxième journée d'agitation dans les facs en Iran Pour la deuxième journée consécutive, plusieurs milliers d’étudiants se sont retrouvés mardi à l’Université de Téhéran, où ils ont été attaqués par les Basidj'is, selon des témoins. Les journalistes étrangers sont toujours interdits de séjour dans les rues par le régime.

 

Dans le même temps, une trentaine de motards en civil, sans doute également des Basidj'i ont encerclé l'un chef de file de l’opposition et candidat malheureux à la présidentielle Mir Hossein Mousavi alors qu’il essayait de sortir de son garage, ont rapporté des sites Web d’opposition. Moussavi est resté bloqué dans ses bureaux plusieurs heures. Lundi, pendant la manifestation à l’Université de Téhéran, son épouse Zahra Rahnavard avait été prise à parti par des étudiants d'extréme gauche lassé des discours jugés trop légalistes de moussavi avant d’être évacuée par ses partisans.

 

Au cours d’une conférence de presse, le procureur général Gholam Hossein Mohseni Ejehi, interrogé sur une éventuelle arrestation de Moussavi, a déclaré: “nous ne tolérerons que personne commette des actions contre la sécurité, et nous les affronterons”, a-t-il déclaré, selon l’agence de presse semi-officielle Fars. “Pour l’instant, nous avons fait preuve de retenue. A partir d’aujourd’hui, il n’y aura pas de clémence”, a-t-il ajouté, selon l’agence officielle corrompue de l'IRNA, demandant que les procureurs de Téhéran prennent des mesures plus fortes contre “ceux qui violent l’ordre public et s’en prennent à la propriété publique”.

 

Cette nouvelle fébrilité et durcissement du régime est peut-être liée au fait que le calendrier des semaines à venir est riche d’occasions pour l’opposition de descendre à nouveau dans la rue, en détournant des manifestations officielles. A la mi-décembre commence le mois saint de Moharram, marqué dans l’Iran chiite par de massives cérémonies traditionnelles de deuil. Il y aura ensuite l’anniversaire de la révolution islamique de 1979, début février, marqué par dix jours de célébration Vidéos de la résistance étudiante face à l’agression des bassidji Mardi 8 décembre, en réponse à la mobilisation du 16 Azar (7 décembre), des basidj'is mais aussi des brutes du Hezbollah libanais qui opérent comme des barbouzes et mercenaires en Iran depuis le mois de juin qui ont clairement étés identifiées comme telle par de nombreux(se) étudiantes , des flics en civil des Pasdarans et de la vevak sont venus à l’université de Téhéran et ont dû faire face à la résistance acharnée et courageuses des étudiant(e)s.

 

des vidéos de la résistance des étudiant iraniens visible ici

 

http://www.youtube.com/watch?v=TM-HujdOTRE

 

Etudiant blessé par les brutes du régime

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=85HdL9-Mt1M

 

“Nous sommes Sohrab, nous sommes Neda, nous sommes une seule voix”

 

http://www.youtube.com/watch?v=85HdL9-Mt1M

 

Honte à vous, quittez notre université”

 

http://www.youtube.com/watch?v=9AHY21ZcuTI

 

“Mort aux bassidji !”

 

http://www.youtube.com/watch?v=x9KnRQxn9JE

 

http://www.youtube.com/watch?v=9AHY21ZcuTI

 

Université de Téhéran : nouvelle Attaque et provocation des bassidjis et résistance des étudiant(e)s De nouveaux témoignages affluent de partout grace au courage de nombreux internautes iraniens qui prennent des risques d'arrestations insensés pour contourner la censure et le ralentissement du net en iran mis en place a l'aide de Nokia et Siemens et de ces centres et serveurs situés a l'intérieur du pays

 

8 décembre 2009 attaque, aujourd’hui de basidj'is dégisés en "étudiants" à l’Université de Téhéran : De nouveaux incidents ont opposé mardi des soit disant étudiants pro gouvernement sur le campus de l’université de Téhéran, au lendemain de manifestations d’opposants au président Mahmoud Ahmadinejad qui avaient émaillé la “journée des étudiants”, a rapporté l’agence officielle coorompue de l' Irna. Des étudiants opposés au gouvernement, qualifiés d’”émeutiers” par Irna, se sont “rassemblés pour protester contre ce qu’ils qualifient d’agressions contre les manifestants (de lundi)”, a expliqué l’agence.

 

Vidéo : Résistance des étudiant(e)s à l’agression des bassidjis, 8 décembre

 

http://www.youtube.com/watch?v=Kj8BTlmc-Z8

 

Des basidj'is en civils et faux étudiants les ont affrontés à coups de slogans, puis on sorti de leurs sacs des barres de fers, des couteaux et d'autres armes blanche avant que la situation ne dégénère en bagarres durant lesquelles des pierres et des gaz lacrymogènes ont été jetés et des fenêtres brisées, a précisé l’agence sans faire état de blessés. Ces incidents du 8 décembre 2009 sont intervenus au lendemain de nouvelles manifestations, lundi autour des universités de Téhéran, contre la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad en juin. Ces manifestations, interdites, ont entraîné des heurts avec les forces de l’ordre. Les Arrestations du lundi 7 décembre

 

les autorités mentent de nouveau

 

Le chef de la police de Téhéran le sanguinaire Azizollah Rajabzadeh, a indiqué mardi que 204 personnes, 165 hommes et 39 femmes, avaient été arrêtées. des arrestation qui se sont soldées par des matraquages et des tabassages d'une violence inouie, les basidj'is ayant étés jusqu'a aller chercher des bléssés jusque dans les hopitaux pour les embarquer nous savons que ces chiffres sont faux et que le bilan des arrestations est plus du double des chiffres annoncés par les corrompus de l'Irna

 

d'autre part de nombreux réseaux twitters et d'autres sites et blogs en exil annoncent déja des disparitions et des enlévements d'étudiant(es) dont les proches, les familles et les ami(es) sont sans nouvelle

 

Elles sont détenues pour atteinte à l’ordre public. “Certaines ont endommagé des véhicules, incendié des motos et des poubelles, et crié des slogans hostiles aux autorités”, a expliqué le chef de la police. Selon l’agence Isna, il a également indiqué que des forces de l’ordre resteraient déployées autour des universités de Téhéran dans les prochains jours pour “empêcher des rassemblements à l’extérieur des campus”.

 

Ces miliciens basidj'is ont attaqué les étudiants iraniens qui manifestaient mardi pour la deuxième journée consécutive dans les facultés de téhéran, d’autres miliciens à moto harcelant quant à eux une des principales figures du mouvement d’opposition au régime des mollahs qui tenta de s'approcher d'une des facultés. Dans le même temps, le procureur général menaçait de prendre des mesures répressives, et de faire tirer dans la foule après les manifestations de lundi qui se sont achevées en violents affrontements avec les forces de l’ordre, débouchant sur plus de 200 arrestations.(source officielle loin de la réalité car selon de nombreux témoignages de manifestant il faut compter ce chiffre en double).

 

La contestation ne s'est pas non plus calmée dans les grandes autres universités et facultés du pays qui ont de nouveau connu des greves des repas, des refus des filles et des garçons de vivre et étudier dans des facultés non mixtes

 

Les autorités iraniennes et le régime fasciste des Mollahs semblent craindre que le mouvement de protestation né de la contestation des résultats de la présidentielle de juin ne prenne à nouveau de l’ampleur. Lundi, les étudiants avaient ouvertement brisé le principal tabou du régime, en brûlant des photos du Guide suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei et en traitant Ahmadinejad de président Nazi -chose nouvelle également on a pu a nouveau aussi entendre des slogans contestant le légalisme et la mollesse de Moussavi de plus en plus considéré par nombre d'étudiants radicaux et proche de l'extréme gauche comme la derniére roue de secours du régime

 

Solidarité internationale avec le soulévement populaire Iranien

 

Solidarité internationale avec le soulévement populaire et la résistance antifasciste au Honduras

 

Solidarité internationale avec le soulévement  populaire de la jeunesse grecque